Notre São Paulo
Critique écrite par G Mercier le 18 mars 2008
Poésie
Souviens-toi, mon ami…,
on s’était rencontré
au milieu d’une usine où battait la ferraille,
on mariait la vie
à ce monde blessé
par l’air irrespirable à force de batailles…
L’un et l’autre arrivait
pour recommencer tout,
comme un nouveau caprice le long de nos chemins,
pendant qu’agonisaient… Lire la critique