Parmi les brins reliés des câbles, la voie courbe
Qui monte, qui change dans la lueur et la fuite des cordes, –
Des miles et des miles de lueur crépusculaire syncopent
La rumeur indistincte, télépathie des câbles.
A l’index de la nuit de granit et d’acier –
des réseaux transparents – les échelons qui scintillent, immaculés –
Des voix sybillines vaçillent autour et coulent
Comme si de cette harpe un dieu était né.
Atlantis, Hart Crane, The BridgeÉtiquettes : Hart Crane, New york