Comment peut-on commettre ce genre d’ouvrage ? Une littérature facile comme une femme de mauvaise vie, dégoulinante de phrases attendues mal travaillées, un style d’adolescente acnéique, des thèmes « bateau », aucune construction littéraire originale, bref un livre anti-culturel à l’image de son éditeur qui ramasse des pseudo-auteurs rejetés et sans avenir, pour faire très vite du profit en comptant sur quelques lecteurs égarés. On souhaiterait que ces quelques nouvelles soient beaucoup plus courtes : réduites à leur titre ! Que Wengrow, pour se distraire, tente autre chose que l’écriture : le club de gymnastique ou le saut à l’élastique. Alors soyons charitables et suggérons à cette auteur son prochain livre : « Ne Rien Faire » en 100 pages blanches.
Détails sur « Le désespoir des heures de pointe » est effectivement un désespoir
Isbn : 2358350044
Étiquettes : wengrow
Tout à fait d’accord. C’est un ouvrage inutile qui ne doit sa promotion qu’à internet et facebook. Un contenu pathétique et ennuyeux, sans aucune grâce : juste du gros portier. A lire très vite dans le métro, aux heures de pointe uniquement, et très serrés les uns contre les autres pour se soutenir dans cette terrible épreuve. Egalement d’accord avec le saut à l’élastique, mais sans élastique.
Wengrow, comme beaucoup de sous-produits éditoriaux aujourd’hui, est la preuve que l’on peut écrire des livres sans faire de la littérature. Apparemment elle en aurait rédigés d’autres du même acabit, en langage criminel on appelle cela serial killer. En espérant que cette personne ait eu la décence d’écrire sous un pseudo. En résumé son livre est truffé de références autobiographiques sans intérêt : un niveau culturel médiocre et une vie médiocre ne peuvent pas inspirer des personnages et des situations autobiographiques d’exception. Visiblement Wengrow écrit sur les conseils expresses de son psychanalyste, d’accord mais pourquoi publier tout cela ? Voilà un « auteur » sans aucun talent mais surtout sans aucune pudeur. Pourvu qu’à l’avenir son psy lui conseille dix ans de méditation silencieuse dans un temple du Bouthan. Et si, pour changer on lisait et on parlait de littérature ?
Une mauvaise critique n’est pas si courante, j’ai donc fait un détour vers cet ouvrage par simple curiosité. Voici comment il commence : « Il dormait profondément.Trop profondément à cette heure tardive de la journée. La mère avait beau tapé à la porte… ». Avoir beau est une locution verbale dite « gallicisme » qui entraîne à sa suite l’infinitif. Tout le livre est à l’instar du début, semé de fautes, dune syntaxe maladroite décorée d’un style de journal intime écrit par Margot dans sa chaumière. Que R. Wengrow commence par maîtriser la langue française : c’est le moindre des respects pour les quelques lecteurs qui oublieraient d’aller tout droit vers la vraie littérature.
Ainsi que le dit Richard Wilson, «ce que je peux dire de mieux sur ce livre, c’est qu’il s’avère être un outil très utile pour vous aider à choisir vos amis. Je sais que je n’ai rien de commun avec quelqu’un qui l’a lu.»
De toutes manières, qu’attendre d’un éditeur qui répond a ses candidats a l’édition en les redirigeant vers son site de « conseil à l’édition » où la liste de 10 éditeurs est vendue 30€!!!!!
On croit rêver!
pardon, 3.30€!
J’avoue avoir été incapable d’aller jusqu’à la dernière page de ce supplice. C’est effectivement très très insuffisant comme « ouvrage » et je suis heureux qu’enfin on prenne la peine de dénoncer cette pratique éditoriale consistant à publier n’importe quoi, écrit n’importe comment, par n’importe qui.
C’est à peine du niveau du mauvais roman-photo, sans les photos, mais avec des fautes impardonnables qui nous renseignent assez bien sur le niveau d’alphabétisation de l’auteur. C’est mièvre, bétifiant, culcul… Aucun talent, aucun style : R. Wengrow écrit, c’est une grave erreur. C’est du niveau rédaction de collège. Pourvu qu’elle ne s’essaie pas à la sculpture ou la peinture, c’est assez de martyriser l’écriture. Quoi de plus redoutable que ces personnes qui s’imaginent inspirées ou se sentent l’âme d’un ‘écrivain ?
Rien ne sert d’avoir les jupes aussi courtes que les idées : le talent est ailleurs, Wengrow visiblement l’ignore. Elle devrait d’abord apprendre, dans l’ordre, le français, la modestie, l’art de se taire et lire de bons livres. Entièrement d’accord avec vous tous : rien à lire dans ce « désespoir », c’est tuant. Que les quelques lecteurs qui s’y sont perdus reposent en paix.
J’ai lu, sur internet, les premières pages de ce livre qui n’est pas un livre mais un « machin » qui frise le ridicule, Aucun style en effet, beaucoup de fautes et une syntaxe grossière : le résultat est consternant et malhonnête. Rebecca Wengrow ne sait pas écrire et ignore la fonction même de la littérature : ce n’est pas si grave tant qu’on ne se prétend pas écrivain, dans le cas contraire c’est tout bonnement de la vulgarité. Qu’elle prenne un dictionnaire (si elle en possède un, j’ai quelques doutes) et y cherche la définition de la littérature pour entamer une réflexion sur la « dimension esthétique » d’une œuvre littéraire. Quel conseil donner à Rebecca Wengrow à part celui d’Henri-Frédéric Blanc qui lui est écrivain : comme la platitude ouvre toutes les portes, j’ai essayé d’écrire avec un fer à repasser, mais j’ai mis le feu à mon cahier.
Alors un peu de repassage peut-être ?
tout est dit plus haut… je ne m’acharnerai pas sur wengrow…
mais le repassage est une tâche qui mérite mieux !
La question de fond sous-jacente que semblerait poser ce livre est : mais jusqu’à quelle extrémité cette auteur est-elle allée pour être éditée bien qu’elle ne soit pas écrivain ? Vu le niveau de l’ouvrage, le simple copinage ne paraît pas suffisant.
Je recommande pourtant ce livre, mais uniquement dans le cadre d’un dîner entre amis amateurs de bonne littérature, histoire de se payer une bonne tranche de rire en en lisant quelques pages, en organisant ensuite un concours « on joue à celui qui trouve le plus de fautes de syntaxe et d’orthographe dans ce bouquin de R. Wengrow », puis en méditant enfin tous ensemble sur l’art de la caricature involontaire.