Le livre a trait aux années 1921-1926 à Paris.
Hemingway kiffe Zelda Fitzgerald.
Zelda se tagge sur lui.
Scott Fitzgerald s’en rend compte.
Scott a des complexes, un peu comme une fèlure, il a peur de manquer de ce qui fait la forte réputation d’Ernest auprès des femmes. Ils dînent ensemble et Scott lui confesse :
» Zelda m’a dit qu’étant donné la façon dont je suis bâti, je ne pourrai jamais rendre aucune femme heureuse. elle m’a dit que c’était une question de taille » – page 214
Bon mec, Hemingway emmène son pote aux gogues, il mate et trouve tout normal. Naissance de la sexologie moderne.
Ballade au Louvre pour rassurer Fitzgerald. Ils examinent l’anatomie des statues. Scott a encore des doutes. Son pote Hemingway le rassurre dans un langage plein d’innocence, comparé au vocabulaire de Virginie Despentes.:
» Au fond, ce n’est pas une question de taille au repos dis-je. Cela dépend aussi des dimensions qu’il prend. C’est une question d’angle » – page 216
Rassuré, Scott offre un verre au bar du Ritz à son sexologue.
Je n’ai pas lu ça dans le livre de PPDA. Il aurait quand même pu en parler. Pas pomper mais en parler !
Ernest Hemingway Paris est une fêteÉtiquettes : Ernest Hemingway, Francis Scott Fitzgerald, PPDA, Ritz, Virginie Despentes