Quand mémère pond un « chiard » affublé d’un bec de lièvre, elle lui donne le prénom de l’accoucheuse : Gladys. Honneur ou insulte ? Réponse quarante ans après dans le bordel où Kim, sa petite fille, fait des passes chez la matrone devenue bordelière. Tout a-t-il péri avec son innocence ? Non. L’adolescente découvre le plaisir en s’éclatant « la quille » avec une pré-ado à la « touffe subsaharienne ». Si l’objet est simple, le sujet l’est moins. ( Longues interrogations en mode et vocabulaire Virginie Despentes sur le développement de la sexualité et l’impact des images féminines familiales dans la construction de la personnalité..)
Détails sur Si tout n’a pas péri avec mon innocence, d’Emmanuelle Bayamack-Tam
Isbn : 2070459209
Étiquettes : adolescence, Virginie Despentes