Trois ados nus sur un plumar. Sonja enfilée par son frère Léo. Le cousin mate. Ils kiffent d’être entremêlés. Sonja, très chaudasse, monte ensuite sur le cousin dont elle engloutit la bite. Le narrateur-cousin enchaîne et se tamponne Léo. Grosse morale dans cette partie de cul. C’est le narrateur qui parle, un jeune qui en a marre de s’enfiler les prudasses de sa classe, des meufs qui breakent facile dépression.
« Mon esprit d’enfant considérait que c’était une bonne chose , puisque cela, précisément, permettait cette unité entre eux., une unité dont je procédais aussi maintenant, parceque j’étais leur proche parent. J’étais fermement convaincu que l’union des gens de la même famille était la meilleure et la plus durable, car les liens du sang la protégeaient et la préservaient des offenses et de l’affectation, qui, si souvent, gâchaient les relations d’adultes non apparentés »
Vivre à trois cousins leur apporte le bonheur. Les deux autres animent le petit théâtre intérieur de chacun. Pas besoin d’autres choses. Pas besoin d’étranger.
« Notre sentiment de bonheur avait entièrement reposé sur ce que nous trois, Léo, Sonja et moi, éprouvions envers nous-mêmes et les uns envers les autres, et nullement sur les possibilités qu’offrait la réalité extérieure »
Que vont donc en penser les psychanalystes ?
Rax Rinnekangas, La lune s’enfuit.Étiquettes : adolescents, amour, bonheur
Votre langage ordurier ne rend pas compte de la délicatesse de sentiments exprimée dans l’ouvrage.
c’est fascinant ça!