Rax Rinnekangas, La lune s’enfuit.

Critique de le 30 avril 2011

Je n‘ai pas aimé...Plutôt déçu...Intéressant...Très bon livre !A lire absolument ! (38 votes, moyenne: 4,66 / 5)
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Psychologie Roman Sexualité

Trois ados nus sur un plumar. Sonja  enfilée par son frère Léo. Le cousin mate. Ils kiffent d’être entremêlés. Sonja, très chaudasse, monte ensuite sur le  cousin  dont elle engloutit la bite. Le narrateur-cousin enchaîne et  se tamponne Léo. Grosse morale dans cette partie de cul. C’est le narrateur qui parle, un jeune qui en a marre de s’enfiler les prudasses de sa classe, des meufs qui breakent facile dépression.

« Mon esprit d’enfant considérait que c’était une bonne chose , puisque cela, précisément, permettait cette unité entre eux., une unité dont je procédais aussi maintenant, parceque j’étais leur proche parent. J’étais fermement convaincu que l’union des gens de la même famille était la meilleure et la plus durable, car les liens du sang la protégeaient et la préservaient des offenses et de l’affectation, qui, si souvent, gâchaient les relations d’adultes non apparentés »

Vivre à trois cousins leur apporte le bonheur. Les deux autres animent le petit théâtre intérieur de chacun. Pas besoin d’autres choses. Pas besoin d’étranger.

«  Notre sentiment de bonheur avait entièrement reposé sur ce que nous trois, Léo, Sonja et moi, éprouvions envers nous-mêmes et les uns envers les autres, et nullement sur les possibilités qu’offrait la réalité extérieure »

Que vont donc en penser les psychanalystes ?

Rax Rinnekangas, La lune s’enfuit.

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2 commentaires pour “Rax Rinnekangas, La lune s’enfuit.”

  1. avatar bruno chauvierre dit :

    Votre langage ordurier ne rend pas compte de la délicatesse de sentiments exprimée dans l’ouvrage.

  2. avatar reussiteforever dit :

    c’est fascinant ça!

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