L’auteur ? Un pervers pépère! Il fout le camp de partout et s’offre une nuit de libertinage pour se payer de ses souffrances. et oui… ce livre a une morale : il est impossible de mourir sans amour. Littérature brillante avec « Un coeur si grand qu’il avait pitié du diable. » Réalisme magique de l’auteur qui confesse : » les putes ne m’ont jamais laissé le temps de me marier. »
Mémoire de mes putains tristes de Gabriel Garcia MarquezÉtiquettes : amour, libertinage, Pervers