Pour un premier roman je dit chapeau bas Amélie Nothomb a frappé fort.
Ce livre m’a littéralement absorbée, touché aussi bouleversée parfois parce que j’y ai trouvé traduit avec des mots juste ce que l’on pense à propos de la férocité avec laquelle nous nous faisons du mal, nous nous détruisons les uns les autres.
De plus la manière dont est rédigé le texte n’est pas du tous ennuyeuse et fait au contraire travailler la conscience sur la thèse justement pour répondre a cet problématique Nothomb utilise des dialogues franc et tonique entre un personnage extravertie, misogyne, misanthrope, handicapé, obèse et des journalistes respectueux mais qui ont très vite étaient mis mal a l’aise sauf la dernière oui une femme pour la fin tragique de l’octogénaire qui demande finalement pardon a tous et surtout aux personne a qui il a fait du mal personnellement.
En somme je conseille volontiers ce roman plein de cynisme et dont la fin est inattendu donc très surprenante.
En clair ce roman est fait pour ce qui n’aime pas lire tous cours et qui veulent y prendre gout ce qui est enfin était mon cas avant de lire ce chef d’oeuvre
L’hygiène de l’assassin de Amelie Nothomb
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Amélie Nothomb, ou on aime ou on aime pas. Elle a un style bien à elle.
Caustique, parfois dur, mais toujours juste. J’aime beaucoup !
Roman de cinq dialogues avec le même personnage, l’octogénaire Prétextat Tach. Un premier roman qui annonce l’ensemble de l’oeuvre à venir. Youpi! à la fin le vieux ronchon est piégé par celle qu’il pensait écraser! savante construction…livre dévoilant d’emblée la compréhension nothombienne de ce qu’est la littérature.