Les caves du Vatican, André Gide

Critique de le 21 octobre 2011

Je n‘ai pas aimé...Plutôt déçu...Intéressant...Très bon livre !A lire absolument ! (31 votes, moyenne: 4,61 / 5)
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Littérature Roman

Si vous n’êtes pas un bâtard cynique alors ne craignez rien. Vous ne foutrez personne par la fenêtre, par un simple acte désintéressé, né de vous même. C’est finalement assez dommage pour vous d’être privé de cet acte gratuit transgressant la jouissance.

Jouissance du saccage et de la destruction après que Lafcadio ait entendu de la bouche de son géniteur les mots qui suivent :
 » Mon enfant, disait son père sur son lit de mort, la famille est une grande chose fermée; vous ne serez jamais qu’un bâtard  »

Jouissance par laquelle lafcadio ressort de la personna gidienne, en ajoutant un trait de castration portant sur la jouissance.

On pense à Lacan évoquant les rapports du désir et de la persona :  » Ce n’est pas ailleurs que dans ce masque que s’offre à nous le secret du désir, et avec lui le secret de toute noblesse » ( la jeunesse de Gide, La Cause freudienne, no 65, p.167)

Les caves du Vatican, André Gide

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