Fantasy, je me trouve par làààà.
Fantasy, touche moi un ‘ptit plus baaaas.
Comment ça ; bizarre ? Je ne vois aucun inconvénient à chanter cet hymne alors que ce cycle a reçu le Prix David Gemmell en 2009 !
Pardon ?
Ce n’est pas l’histoire principale ? Et pourquoi ça ne serait pas l’hist…
Un préquel ?!
…
…
TRAHISON !!! FILS DE FOIN DE FUMIER !!! COQUIN !
…
Maintenant que je l’ai lu… Je dois en parler, je n’ai plus le choix ; c’est ça ?
La vie est souvent cruelle…
Salut à toi cher Lecteur du Futur !
Nous sommes donc en présence de deux romans… Non, non et non. Pardon.
De deux RECUEILS de nouvelles qui ont toutes précédées l’histoire principale du Sorceleur (le héros principal).
J’aimerais ajouter le fait que des personnes normalement constituées commencent par le principal avant d’aller dans les détails (j’aime les rimes ! qui ne riment pas… j’ai cru pendant un court instant).
Alors que dans cette réédition des tomes du Sorceleur : les numéros 1 et 2 que j’ai lu sont les fameux et succulents recueils de nouvelles… L’histoire principale commence donc au tome 3…
Viiiite !! Sortez l’Oscar du Talent avant qu’il y est une réédition du Seigneur des Anneaux avec comme 23 premiers tomes : Le Silmafission version améliorée, corrigée, revue et déféquée, les Contes des Mille et un Tonneaux ou encore La petite Tour au Milieu de la Comté.
Bon, je taquine Milady (et c’est justifié ! Ah oui, oui), mais ces deux tomes m’ont vraiment plu énormément (Dans le cas contraire : j’aurais retrouvé Sapkowski, l’auteur, pour lui faire bouffer page par page ses bouquins et j’aurais plaidé : Non-coupable pour « Escroquerie de numérotation, cordialement »).
On suit donc l’histoire d’un mutant Sorceleur nommé Géralt, très badass (mot regroupant : charismatique, obscur, puissant, chaud lapin… enfin, je m’égare) et qui effectue différente missions de chasses au monstre.
Hum ? Ah oui, c’est tout. C’est dingue comment on peut tenir quelqu’un en haleine sans beaucoup de scénario de départ.
Quoi qu’il en soit, ces recueils sont très intéressants pour milles raisons : le conflit intérieur et l’incompréhension de l’amour, des combats vraisemblables, un monde cruel et sans pitié ressemblant fortement aux récits historiques du Moyen-Âge.
En fait, je classerais ces nouvelles (et surement la suite du roman, heu… le début de l’histoire… BREF, la suite.) dans le genre de dark-fantasy ; houuuuulala, cela commence à sentir le postérieur cramé si Môsieur Andrzej Sapkowski ne maîtrise pas les ficelles du fantasy et nous pond une œuvre juste bonne à faire de l’aquaplaning en caleçon dessus.
Critique disponible sur le site : http://irm-fimento.com/le-sorceleur-le-sang-des-elfes-andrzej-sapkowski/
Le Sorceleur – Le Dernier Voeu et L’épée de la Providence – Andrzej Sapkowski