Oeuvre légère qu’il convient tout autant d’apprécier par le film que par le livre.
Il me semble que l’auteure ait souhaité transcrire, avec beaucoup d’humour, la dure réalité de la vie professionnelle et cela, quelque soit le secteur.
Elle nous rappelle que l’existence est une question de choix et de priorités
Je me permets de qualifier l’oeuvre de légère parce qu’elle invite au relachement de la pensée. L’héroïne se dévoile sans fioriture et cela en devient plaisant.
Je suis presque tentée de redécouvrir cet ouvrage mais sans sa langue d’écriture cette fois.
Attention, je n’admettrais pas qu’on attache à ce livre l’adjectif de superficiel parce qu’il est touchant d’un réalisme fracassant. Toutefois, on y retrouve la fameuse touche américaine avec son inconditionnel happy ending.
A découvrir lors d’un été léger.
Le diable s’habille en Prada de Lauren Weisberger