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Dominique Fernandez ? ? Où est passé le lyrisme, la qualité d’écriture, la musique habituelle des livres de DF ? Jérémie Jérémie… Oui lamentations devant cet opus fourre tout, mi collection Harlequin, mi Club des Cinq (Page 171 « C’était l’heure tendue etc »)
L’intrigue est cousue de fil blanc, et la psychologie à deux sous .
Pitch : Le fils d’un fasciste-nazi –mais qui ignore le passé de son père- est amoureux d’une juive, il apprend par un autre prétendant de la belle les crimes de son cher papa, prétextant alors un travail sur Alexandre Dumas ( métis ayant renié son père… vous suivez ? ) il va se retrouver à Haïti au sein d’une « organisation » dirigée par un capitaliste Suisse (et véreux bien sur), va tomber amoureux d’un blond Boris stalinien et tous les poncifs vont y passer : le vaudou, la traite des noirs, le culte du passé , rejet de la société de consommation, caricature colonialiste etc
Autre alternative : DF se serait-il amusé à écrire un pastiche ?
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