« Paris, 2127. Après les grands bouleversements mondiaux, l’humanité se voit dans l’obligation de vivre dans des bulles de verre, de pédaler pour obtenir de l’électricité, d’utiliser du jus de betterave modifié pour créer des objets, et de construire des « camps pour vieux » afin de recycler les retraités qui serviront de nourriture aux vivants. Le pouvoir en place, avide de puissance, ne fait que détruire un peu plus ce monde déchu. Aaron, la trentaine, héros malgré lui, rejoindra la résistance et participera aux changements de ce monde. Mais les « grands anciens » surveillent et regardent notre monde, envieux, jusqu’à décider de reprendre leur place sur Terre. Un roman en hommage à H.P.Lovecraft et Bernard Werber. »
Lorsque j’ai lu ces mots, mon cerveau n’a pas réfléchi : J’avais remarqué cet auteur sur son site web, lorsqu’il publiait quelques nouvelles SF pour se présenter aux lecteurs. Puis je l’ai de nouveau rencontré sur un groupe Facebook, lorsqu’il présentait son livre. Sa 4ème de couverture ne pas fait hésiter : et croyez-moi, j’ai bien fait de suivre mon instinct !
Une histoire qui ne permet pas de s’arrêter de lire : chaque page, chaque chapitre sont faits pour avoir l’envie irrésistible de lire la page suivante. Un Paris en 2127 complètement dévasté, les super volcans qui se réveillent, puis les grands anciens qui pointent le bout de leur nez. Il est facile de s’attacher aux personnages et il y a un élément qui fait en sorte de les aimer encore plus : le style est familier, il y a des épisodes avec beaucoup de sang, des immeubles entiers qui écrasent des « Bulliens », bref, il faut avoir le ventre accroché par moment.
Niveau style, c’est un premier roman, mais déjà le style est bien construit. J’aime le caractère familier, et attachant des mots qu’il emploie. L’auteur a construit un style entre H.P Lovecraft et Bernard Werber (c’est d’ailleurs un roman hommage). Il a bien réussi cette action. J’ai remarqué quelques petites coquilles, et des fautes à certains endroits, mais rien qui gène la lecture.
Bref, le numérique a été fluide à lire, alors je vais le commander en ouvrage papier pour avoir encore plus de plaisir à le lire. Pour conclure : un auteur à suivre sans hésiter.
Le jour de la fin des temps, tome 1 – Connaissance (Lord Sébastien Vergnaud)Étiquettes : Le jour de la fin des temps tome 1, Lord Sébastien Vergnaud
Je viens de terminer le roman de cet auteur. La critique présente sur cette page concernant son livre est semblable à ma pensée.
J’ai adoré ce roman, qui se croque avec plein d’énergie. Certains moments étaient difficiles : la mort de personnes, des immeubles qui s’effondrent, un certain degré de violence assez élevé, tout cela peut pas mal remuer, mais quelle écriture !
L’auteur ne joue pas avec des mots compliqué : j’ai l’impression qu’il souhaite nous montrer les choses simplement, tout en y allant avec un dynamisme incroyable ! Je ne me suis jamais ennuyé, jamais je ne me suis dit « pfuuu, il termine bientôt son truc ? ». Chaque page pourrait vous rendre complètement dingue et appel encore et toujours la suivante.
Foncez !
Un jour, je me suis dit : arrête de lire des auteurs complètement dingue. Eh bien heureusement que je n’ai pas suivi cette obligation !
Je suis d’accord avec le commentaire de « Martin » : c’est violent, parfois très violent, mais qu’est-ce que c’est bon ! Au premier abord, l’auteur apporte une histoire qui ne donne pas du tout envie d’être vécue, voir qui met mal à l’aise, mais quel final !
Je n’aurais jamais pensé lire un truc pareil !