Un quai de gare à Toulouse
Critique écrite le 26 avril 2009
Vos textes
Sur le quai fauve et noir empli de moiteurs sales,
Les âges se défont au rythme aigu des trains…
Voici longtemps. Peut-être en mai. Comme en rafales,
Des houles de joie ivre incendiaient mes reins.
J’avais les yeux ravis et comblés de l’enfance.
La magie à ma lèvre où fusait… Lire la critique