Trente et un délices nippons
Critique écrite le 21 juillet 2011
Poésie
Heureuse découverte que ce livre de poèmes japonais au titre long, comme un adieu qui n’en finit pas : « Quant à Saint-Germain-des-Prés, trente et un tanka sur la main d’après ».
Comme le titre ne l’indique pas, c’est une flânerie dans un quartier parisien dans le 6,5,… Lire la critique