Schizophrénie Majeure
Critique écrite le 7 juin 2009
Vos textes
Il s’appelait david Equihem, et la seule chose qu’il me resta de son passage à l’acte, ce fut son parfum de prostitution_une suave odeur d’occitane au thé vert, et une simple liberté corporelle inassouvie. Un jeune homme de vingt sept ans, qui me tire un sourire en se levant du lit dans lequel… Lire la critique