Marrant et profond. Invitation à vous installer devant une boulangerie avec de pauvres zigues sans une thune qui hument les croissants. C’est vivant et plein de petites fictions spécialement inventées par l’auteur » pour susciter la perplexité » et aussi mettre le lecteur à l’épreuve. Interrogation constante sur une société jugée trop morale et dont les acteurs s’érigent en police morale et se prennent pour des saints. Le moralisme rogne la liberté.
L’influence des croissants chauds sur la bonté humaine de Ruwen OgienL’influence des croissants chauds sur la bonté humaine de Ruwen Ogien
Critique de bruno chauvierre le 15 septembre 2011
Roman