Pleurnicheries de Foenkinos se demandant » Comment vivre en sachant que l’avenir est une peau de chagrin » Avec assurance il donne de surprenantes leçons de neurologie, des explications physiologiques sur une prétendue cécité de l’homme sur l’enfance où » le cerveau n’est pas encore formé « ( P. 104) On a droit, comme dans les traités scientifiques à des notes en bas de page avec ce type d’idiotie. Et c’est ainsi qu’on apprend qu’avec le souvenir de l’enfance » On vivrait en permanence avec une nostalgie béate, complètement paralysante. » A croire que Foenkinos a peur des souvenirs.
Les souvenirs de David FoenkinosÉtiquettes : cerveau, enfance, physiologie, souvenirs
J’ai découvert l’écrivain David Foenkinos en lisant La délicatesse.
Aujourd’hui son dernier roman Les souvenirs est à mon avis une pépite de la littérature française,c’est rare de nos jours
Ce jeune homme fragile si attachantqui navigue de souvenirs en souvenir
je l’ai aimé dès les premières pages du livre.!