Résumé de l’éditeur:
Leeds dans le Yorkshire. Une journée ordinaire s’annonce pour Tracy Waterhouse, chef de la sécurité dans un centre commercial. Jusqu’à ce qu’elle fasse un curieux achat, qui va faire basculer sa vie… Rebondissements et fausses pistes abondent dans ce roman qui empoigne le lecteur dès la première page et le tient en haleine jusqu’à la fin. Des années 1975 à aujourd’hui, Kate Atkinson nous plonge dans un univers d’un réalisme cru : tueurs en série, prostituées assassinées, enfants enlevés, policiers véreux, mais à sa sauce : c’est drôle, truffé de jeux de mots et d’allusions littéraires. Parti tôt, pris mon chien confirme, s’il en était besoin, que Kate Atkinson est un des grands écrivains de notre temps.
Chère Kate Atkinson! Pas un de ses livres ne m’a déplu jusqu’à présent! J’ai retrouvé avec plaisir son héros récurrent, Jackson Brodie, personnage attachant en diable, solitaire mais souhaitant ne plus l’être, tiraillé entre ses enfants et les femmes de sa vie, qui, arrivé à la cinquantaine se pose (comme tout un chacun je pense à cet âge) des tas de questions existentielles.
Le voilà qui accepte comme travail la recherche des origines d’une jeune néo-zélandaise qui a été adoptée. Accompagné de son petit chien, arrivé dans sa vie par hasard, il parcourt les routes du Yorkshire à la recherche d’une vérité qui semble bien ardue à dévoiler.
Un excellent roman de l’auteur, mais peut-être ne suis-je pas très objective à son sujet car je l’adore!